Un
orphelin ne veut qu'une chose ...
Un deuil précoce signe un destin ... une histoire d'enfant spécifique
"Et
tous les orphelins semblent avoir l'âge d'une enfance
éternelle."
Serge
Moati,
Paroles
d'Orphelins.
Au-delà du deuil, c'est tout un parcours de vie remis en cause. Car les répercutions de la perte ne s'arrêtent pas à la blessure affective.
"C'est une chose cruelle et un très sérieux handicap de ne pas avoir de père pour vous aider dans la vie [...] S'il avait vécu, je n'aurais pas eu, à vingt et un ans, à être pion pour gagner ma vie tandis que je poursuivais en faculté mes études supérieures [...] ce fut une des périodes les plus amères et des plus humiliantes de ma vie" avouera l'écrivain Robert Merle à l'un de ses fils déjà adulte (in Robert Merle. Une vie de passions, biographie, Pierre Merle, éditions de l'aube, 2008).
Ce témoignage illustre ce que nous dénonçons dans notre étude socio-économique : la perte d'un parent figure la perte d'un pilier socio-écomique, un handicap au départ d'une vie, un obstacle à la scolarité et l'entrée dans la vie professionnelle.
Lire en Pdf "Destins d'orphelins" -Informations sociales n°156
Lire et télécharger sur le Web : Enfants orphelins aujourd’hui en France in Recherches familiales 2020/1 (n° 17) Éd.: Union nationale des associations familiales (UNAF)
Ils ont réfléchi aux moyens à mettre en œuvre pour que la société prenne en compte cette situation familiale singulière.
Voici le
compte-rendu de leur
débat, "Être jeune orphelin :
se construire sans son père ou sans sa mère"
Actes
du Colloque organisé par l'Ocirp en 2011, à
l'Assemblée Nationale (Pdf )
ou à voir sur le web
Orphelinage : "Tôt ou tard, la blessure enfouie refait surface"
Association des Orphelins
Devenus Adultes : L’Association
des Orphelins Devenus Adultes est une association de Loi 1901. Son
objectif est de créer un espace de rencontres et
d’échanges pour les personnes qui, enfants, ont perdu
leurs parents et qui, aujourd’hui, rencontrent des
difficultés liées à leurs blessures
d’enfance.
L’association est en train de
constituer un premier groupe de parole animé par un
psychothérapeute à Paris. Groupe ouvert à tous
ceux qui, enfants, ont perdu leurs parents entre 4 et 12 ans.
L'association a ouvert un espace sur Facebook
Annoncer l'irrémédiable : mission impossible ?
Ne pas masquer la maladie ou l'accident ... Ne pas cacher la mort du parent ...
Lire en Pdf : L'enfant et son parent malade - Proche de malade. com
Parent malade : Dire la vérité aux enfants - Document Novartis Pharma S.A.
L'enfant et le suicide d'un parent - Services sociaux du Québec
Une VÉRITÉ ... aménagée selon l'âge de l'enfant, son expérience, sa conception de la mort ...
L'enfant ne "vit" pas la mort comme les adultes et doit apprendre ce qu'elle représente ... comme il apprend à vivre à nos côtés, pour un jour être un adulte accompli.
Lecture
complémentaire Pour ceux que la réflexion intéresse, je joins quelques chapitres d'un travail commencé avec Chronique Sociale dont est extrait le document ci-dessus. J'en appelle à votre indulgence et votre curiosité. Cet essai reste et restera inachevé, enfermé dans un coffre, pour des raisons personnelles, notamment sa morbidité. Que ces deux années passées aux ténèbres de ces recherches et ces réflexions ... que ces efforts - aux confins de la vie - ne restent pas tout à fait vains ... |
Le cas des adolescents
Comment
aider doublement les adolescents face au Deuil ...
Entretien (PDF) avec Hélène Levi, psychologue clinicienne et directrice
d’AERA (ACCUEIL ÉCOUTE RENCONTRE ADOLESCENCE) à Cachan dans le
Val-de-Marne
Une
plate-forme innovante de ressources en ligne
"Aider les adolescents en deuil,
notamment les orphelins, en
leur proposant des outils adaptés à leur profil : c’est le pari du
centre national de ressources soin palliatif (cndr sp), qui a étudié la
possibilité de créer une plate-forme de ressources pour les aider à
sortir de l’isolement, mettre des mots sur ce qu’ils vivent, initier
une démarche personnelle. les jeunes orphelins peuvent aussi trouver
des repères et s’appuyer sur les interlocuteurs et structures
susceptibles de les soutenir."
Les orphelins réfugiés ont aussi besoin d’être pris en
charge -
Entretien avec Armando Cote, psychologue clinicien, responsable de
l’espace enfants et adolescents du Centre de soins Primo Levi.
Dire
la Vérité est impératif
Même si les mots ont du mal à venir, même si on pense ne pas exprimer correctement les choses, même si la peine submerge tout ...
Au fil du temps et de la parole, le dialogue s'affinera entre l'enfant et les adultes. Cependant, la confiance dominera et renforcera les liens entre les endeuillés.
"Papa/Maman est mort/morte." La phrase est essentielle à formuler car elle signe la Vérité. Toutefois, cet aveu doit être enrobé, amené avec douceur pour éviter une révélation trop brutale, traumatisante. Il doit également être défini : qu'est-ce qu'être mort ? Que va-t-il lui arriver ? Aura-t-il mal ? Revient-on du pays des morts ?
Il doit pouvoir exprimer ses émotions, sa souffrance et accepter sa peine. Il doit pouvoir poser des questions, partager ses angoisses. Or, souvent il évite d'encombrer les adultes avec ses pleurs. Il regarde le parent survivant comme un étranger dont il découvre la fragilité. Il a alors très peur de le perdre, lui aussi.
Si le parent survivant ne peut faire face, un spécialiste de l'enfance (pédopsychiatre) ou un proche pour lequel l'enfant manifeste affection et confiance peuvent prendre en charge cette mise en mots.
L'enfant doit être entouré, sécurisé, rassuré, malgré le contexte.
Et certaines phrases sont à éviter ...
Lectures
complémentaires sur le web :
L'enfant
et la mort : comment leur en parler ?
La mort pourquoi il faut en parler
Démystifier la mort chez l'adulte à partir de la réalité infantile
Parler de la mort à votre enfant - auFeminin.com - rubrique Psycho
Trauma et deuil : Parler de la mort avec l'enfant (Association de Promotion de la Santé dans l’environnement Scolaire et Universitaire : AFPSSU)
Comment l’enfant pense à la mort (situations dans lesquelles un enfant peut être confronté à la mort)
Hélène Romano, Docteur en psychopathologie clinique, Psychothérapeute spécialiste du traumatisme chez l'enfant, notamment du deuil :
Accompagner l'enfant sur le chemin du
chagrin
Article paru dans Le Journal des psychologues, n° 273, décembre 2009-janvier 2010, p. 48-53)
L'enfant peut vivre l'évènement avec sa famille.
Aider l'enfant, c'est d'abord aider la famille (et ce, à tous les points de vue)
A
lire (PDF)
Accompagnement des familles en
deuil - Marie Tournigand, présidente de Empreintes – Vivre son
deuil Île-de-france
Les réactions du deuil enfantin
Comme ceux de l'adulte ...
Les trois phases principales du travail de deuil se lisent dans le processus psychique enfantin
1- Protestation -colère - Déni
2- Désespoir - Dépression avec tristesse, culpabilité, manque, recherche de l'être perdu, identification à lui, baisse d'attention en classe ...
3- Détachement
MAIS spécifiques à sa condition enfantine.
Mais ces trois phases ne prendront pas le même chemin et se prolongeront tant que l'enfant ne sera pas adulte c'est-à-dire tant qu'il n'aura pas assimilé l'irréversible et achevé son développement psychique. Toutefois, les premiers temps resteront difficiles à vivre, autant pour l'adulte terrassé par sa propre peine que pour l'enfant dont la vie est totalement bouleversée.
Le deuil chez l’enfant ne s'exprime pas comme chez l'adulte par des mots, par la conscience permise par la parole. L'enfant n'a pas encore l'expérience et le vocabulaire disponible. Il ne vit pas non plus dans la même conscience du temps. La mort est pour lui d'abord une absence qu'il aura du mal à concevoir comme définitive. Mais la souffrance est là, bien qu'elle ne semble pas s'exprimer ou qu'elle n'apparaisse pas. La douleur de la perte s'exprime par le corps, dans des actes, des jeux et surtout des symptômes - ou troubles somatiques - qui traduisent de nombreuses angoisses dont celles de la séparation et d'une forte culpabilité.
Ainsi on peut repérer certains types de mises en scènes chez les enfants lourdement endeuillés :
jouer à être mort ou évoquer la mort par l'intermédiaire de figurines ou poupées ;
entrer dans des moments de vive colère contre le parent disparu : "Il n'avait pas le droit de nous laisser" ... "Elle est méchante de m'avoir abandonné" pourront dire certains enfants alors que d'autres détruiront des objets, comme des porte-parole de leur révolte. Cette explosion de haine traduit la blessure d'amour et peut ensuite générer de forts sentiments de culpabilité ;
demander avec angoisse quand doit revenir le parent décédé ;
ne pas vouloir que le parent survivant parte et le laisse ne serait-ce qu'une heure ;
déclarer des douleurs qui rappellent celles du parent malade, ou figurant la cause de l'accident : il s'agit alors de rejoindre le disparu, de s'identifier à lui ;
régresser dans les acquis, refaire pipi au lit, ne plus vouloir manger seul ou manger très salement comme un bébé ;
ne plus vouloir aller se coucher ou dormir seul, se réveiller plusieurs fois dans la nuit ou ne plus arriver à se rendormir, éprouver des terreurs nocturnes et fréquemment des cauchemars ;
vouloir remplacer le conjoint absent auprès du parent survivant, afin de soulager la peine de ce dernier, très difficile à supporter pour l'enfant. Devenir le petit homme protecteur de la maman, se transformer en petite ménagère modèle auprès de son papa … Très inquiet pour l'avenir, cette prise en charge calme l'anxiété de l'enfant dont la première angoisse est de perdre le second parent.
ne plus évoquer le défunt, souvent pour ne pas ajouter de peine au parent restant ou pour respecter le silence de la famille autour du disparu (ce peut être le cas lors de suicide). Cela traduit de nouveau une très forte culpabilité ;
mutisme, perte de gaieté, repli sur soi, comportement apathique ;
au contraire, attitudes provocantes, peurs ou pleurs exagérés et impossibles à calmer ;
réclamer beaucoup de câlins et d'amour ;
Le deuil chez l'enfant : Intervention du Dr Michel Hanus dans la 5ème rencontre (vidéo Youtube )
Dr Michel Hanus, psychiatre et fondateur de la Fédération Européenne Vivre son Deuil aborde le deuil chez l'enfant
Cette vidéo traite des enfants en deuil à travers le témoignage d'une fratrie de 3 enfants, chacun exprimant sa peine d'une manière singulière.
Lire en Pdf : Le deuil de l'enfant - article de PSYCHOLOGIE QUÉBEC • NOVEMBRE 2002
Programme québecquois de soutien aux enfants et aux adolescents endeuillés
PARENT ÉTOILE - INTERVENTIONS auprès d’ENFANTS endeuillés d’un parent
DEUIL NORMAL ET PATHOLOGIQUE rédigé par Catherine EPELBAUM
CES FANTÔMES QUI HANTENT
LES ENFANTS EN DEUIL
par Catherine RENOIRTE - Psychologue clinicienne - Responsable à
Bruxelles des Espace-Ateliers pour les enfants en deuil
"L’objectif majeur des ateliers pour
les enfants en deuil est en effet de relancer le processus de vie :
de reconnaître la douleur de la
perte, de donner place aux émotions, tristesse et colère, de partager
des souvenirs,
avec le souci de respecter les
modalités défensives de l’enfant.
Notre projet est de remobiliser le
désir d’être en lien et de permettre
une certaine réconciliation avec le mort et avec soi-même.
Dès lors, les fantômes s’estompent et
la frontière entre la vie et la mort se précise davantage."
L'orphelin
à l'école : Un enjeu capital
L'école
joue un rôle
capital dans l'équilibre que l'enfant cherche à
rebâtir.
Pourtant, les personnels enseignants ne sont pas prêts à recevoir un enfant en deuil. Ils redoutent la confrontation, ne savent comment réagir sans commettre de fautes. Quels mots face à cette douleur ?
L'enseignant est le plus exposé puisqu'il doit faire face - directement - à la peine de l'enfant. L'enfant peut être perturbé, voir même devenir un élément perturbateur de la classe. Il est en souffrance, comment l'aider ?
Et devant les autres enfants, que dire ? Comment annoncer la nouvelle ? Comment les aider à accueillir la peine de l'enfant en deuil (composer un livret de dessins) ? Comment leur éviter d'être cruels ou méchants ? Comment leur apprendre les premières règles de compassion ?
Quelles stratégies mettre en oeuvre selon les niveaux de scolarité (maternelle, primaire, collège, lycée) ?
Lire en Pdf : L'orphelin à l'école
Retrouver un nouvel équilibre familial sans son père/sa mère
Une nouvelle place va lui être dessinée mais en filigrane d'une vie quotidienne qui se réajuste, peu à peu, sans la présence physique du défunt. Son souvenir deviendra un amour vécu. Mais il ne doit pas devenir un mythe, un juge désapprobateur, un fantôme ... On doit pouvoir librement évoquer le défunt. Ses défauts, ses fautes appartiennent aux souvenirs. Les anniversaires ne doivent pas se figer en commémorations.
L'orphelin surprendra par son caractère paradoxal, une seconde peau habillée à vie, rêveur, renfermé puis tout à coup expansif, impulsif. Il connaîtra des instants de révolte contre le monde entier mais n'hésitera pas à voler au secours des autres. D'ailleurs, beaucoup se dirige vers des professions sociales, médicales ou encore humanitaires. L'enfant endeuillé deviendra souvent un adulte d'une sensibilité particulière et cherchera constamment à être accepté par tous.
Sa vie amoureuse pourra rencontrer des obstacles, entre fuite et recherche d'un nouveau nid douillet. Sa peur de l'avenir pourra paralyser sa vie, une angoisse fortement liée à celle de la mort.
Un deuil précoce peut être un facteur de risque ... mais rien n'est écrit d'avance. L'enfant peut développer une instabilité, signe qu'il ne peut surmonter seul le décès. Il peut considérer que la vie ne vaut pas d'être vécue, réaction face au vide des repères identificatoires fondamentaux qu'il aurait dû se construire. Plus que la mort du parent, les conséquences familiales constitueront le ferment de l'avenir. Un vécu négatif préjudiciable à la santé psychique de l'enfant plombera sûrement la construction d'un destin.
Quel devenir pour l'enfant ?
La mort d'un parent, le devenir d'un enfant
Mémoire de Caroline Derumigny soutenu le 5 février 2016, à l'Institut Européen de Psychologie Appliquée de St Laurent du Var« Un équilibre, se tenir en équilibre, trouver son équilibre, garder l’équilibre… deux points d’appui sont généralement nécessaires. Au cours de son développement, l’enfant trouve son propre équilibre en apprivoisant les séparations temporaires. Qu’advient-il de l’enfant quand il perd sa source d’équilibre, la perte de l’un de ses parents ? Nous avons tous fait l’expérience de se tenir sur un pied, notre équilibre est mis en danger. Si une personne se fait amputer de l’une de ses jambes, comment se maintient-elle en équilibre? Elle s’appuie, vacille… Une jambe de bois pourra toujours lui être proposée. Et à chaque pas qu’elle fera, « Toc-Toc-Toc-Toc », ce petit bruit sera toujours là pour lui rappeler son manque. Cette petite voix qui demande à entrer de telle manière à ce qu’elle se souvienne de sa douleur. Amputé de l’une des personnes principales à son développement, l’enfant perdra son équilibre. » p. 30
Suite à un drame vécu dans son entourage, Caroline Derumigny se rapprocha puis s'occupa de deux orphelines de mère, de 10 et 18 ans. Elle épaula ainsi leur père, veuf, avec compassion et une profonde amitié. « Une équipe, une famille recomposée atypique ! ». La plus jeune des filles demanda rapidement à Caroline de concrétiser leur relation et devint sa filleule.
Le destin de cette enfant, affronté personnellement, a interrogé l'étudiante en Psychologie-Analyse Clinicienne. « Lors du décès de l'un de ses deux parents, que devra trouver l'enfant pour panser sa blessure et assurer son développement psycho-affectif ? » À partir de cette problématique, la réflexion de son mémoire de certification a pris corps.
L'hypothèse du travail de Caroline Derumigny est la suivante : « Si la fonction cathartique permet de se libérer des émotions nuisibles, l'efficacité symbolique que recèlent les outils thérapeutiques du psycho-analyste clinicien facilitera l'enfant à dépasser le deuil de son parent et l'aidera à trouver un nouvel équilibre. »
Quatre cas cliniques lui ont permis d'élaborer un cadre expérimental, de consolider les réponses de sa conclusion et d'établir les fondements de sa future pratique thérapeutique.
J'ai eu la chance de partager l'évolution de cette étude. Ce travail est remarquable et mérite d'être remarqué dans le milieu professionnel de la Psychologie Infantile. Mon unique vœu est que la réflexion de Caroline Derumigny suscite l'intérêt et œuvre à la reconnaissance – et surtout à la prise en charge dans un cadre thérapeutique spécifique et adapté – du deuil parental et de la peine orpheline.
Bravo Caroline ! Et bonne chance … Quelques perles de Quartz rose nous relient à jamais !
« La connaissance du symbolisme est comme une passerelle entre le conscient et l’inconscient. Elle va permettre et aider l'enfant endeuillé exclusif à comprendre l'intérieur de lui-même, en extirper les maux et les joies afin d'accéder au mieux-être. » p. 71
« Les enfants endeuillés se rejoignent dans leur douleur, dans la connaissance de cette souffrance qu’est la mort d’un parent, celle qu’ils ne devraient pas connaître si tôt. Ils s’assemblent dans leurs différences, développant une hyper-émotivité qui se répercute sur leur corps et leur psyché. Ils s’arment de tout ce que peut leur offrir leur environnement. Ils sont avides de tant d’amour absent, perdu, mort. Ils vont le rechercher spontanément chez l’autre, pour colmater et panser leurs blessures. Nous avons tous notre rôle à jouer pour accompagner ces enfants. Ils sauront puiser en chacun de nous, les outils nécessaires pour devenir enfin. » p. 153
Avec ou sans résilience ?
Les orphelins sont observés comme une population résiliente, selon la théorie de B. Cyrulnik ... Ils ressortiraient de l'épreuve avec une force psychique affirmée. Pour notre part, nous défendons le destin "orphelin", de la faiblesse à la force ... de l'handicap à la détermination ...
Lire sur le web =
Enfance
perdue – enfance retrouvée par André Haynal
"L’auteur essaie de saisir le sens de deux concepts antagonistes – le traumatisme et la résilience – afin de comprendre la vie."
Voir sur le web :
Film Ocirp : Quand la blessure refait surface
Conférence de
Boris Cyrulnik - "La mémoire
traumatique"